摘要: |
La reprise du transport aérien, et du tourisme en général, conduit à l'instauration de quotas : 400 personnes par jour dans les calanques de Marseille, 50 000 alpinistes par an au sommet du Mont-Blanc, arrêt des navettes au mont Saint-Michel en cas d'affluence excessive, interrogations sur le surtourisme à Venise, à Barcelone ou à Prague, mais aussi à Étretat ou à Giverny. Dans la même veine, l'aéroport de Schiphol1 est engagé dans un bras de fer avec la municipalité d'Amsterdam qui veut réduire de 500 000 à 425000 par an le nombre de mouvements d'avions. Le bannissement de l'aviation d'affaires, décidée par l'aéroport, ne permettra pas d'atteindre l'objectif, car le problème n'est pas la mobilité des très riches, mais la démocratisation rapide du transport aérien. |