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Merci à vous tous d'être parmi nous. Je suis accompagné par Michel Savy, président du conseil scientifique de TDIE et de l'Observatoire des politiques et stratégies de transport en Europe (OPSTE), et j'excuse Philippe Duron, coprésident délégué de TDIE, touché par la Covid. J'accueille Dominique Riquet, sans doute l'élu le plus compétent dans le domaine des transports au niveau européen. Grâce à nos rencontres régulières, TDIE développe un contact et un dialogue de qualité avec l'Europe. Je souhaite également remercier Herald Ruijters de participer à ce débat à la « croisée des chemins » dans le domaine des infrastructures. Je voulais remercier le professeur Balâzs, coordinateur du corridor « Mer du Nord-Méditerranée », et le professeur Secchi, coordinateur du corridor « Atlantique ». Je remercie Sandrine Chinzi de la DGITM, ainsi que Marc Billiet, délégué général de l'International Road transport (IRU). Nous accueillerons aussi David Valence, président du Conseil d'orientation des infrastructures (COI), et Jean-Marc Zulesi, président de la Commission du développement durable de l'Assemblée. Je voulais également saluer Jean-Luc Gibelin, vice-président de la région Occitanie. À l'occasion d'une tribune récemment parue dans Le Monde, tous les présidents de région se sont mis d'accord pour dire qu'il faut davantage de ferroviaire1. Madame la directrice générale, nous avons du pain sur la planche si l'on considère que les Allemands mettent plus de 80 milliards pour le système ferroviaire et les Italiens plus de 100 milliards pour les infrastructures. |